Dans un récit digne des plus grandes épopées de la lutte contre le crime, les forces combinées de dix nations ont déclenché une offensive historique contre le redoutable réseau de cybercriminalité, LockBit. Cette alliance sans précédent a mis à genoux le géant du rançongiciel, semant la justice et l’espoir à travers le monde numérique.
Sous la bannière de “Operation Cronos”, une coalition internationale menée par Europol a lancé une attaque éclair contre les bastions de LockBit. Des serveurs criminels ont été neutralisés, des criminels-clés appréhendés, et plus de 200 comptes de cryptomonnaie gelés, infligeant ainsi un coup décisif aux opérations financières du groupe.
Cette alliance héroïque a vu la participation des forces de l’ordre de plusieurs nations, incluant :
- France : La Gendarmerie Nationale, avec sa redoutable Unité Nationale Cyber C3N, a été un pilier crucial dans cette opération.
- Allemagne : L’Office Régional d’Investigation Criminelle du Schleswig-Holstein (LKA Schleswig-Holstein) et l’Office Fédéral de Police Criminelle (Bundeskriminalamt) ont apporté leur expertise et leur détermination à cette lutte.
- Pays-Bas : La Police Nationale, avec ses Équipes Cybercriminalité Zeeland-West-Brabant, Équipe Cybercriminalité Oost-Brabant, et Équipe Crime High Tech, ainsi que le Procureur Public Zeeland-West-Brabant, ont joué un rôle clé dans la coordination des efforts.
- Suède : L’Autorité Policière Suédoise a contribué à cette opération avec son savoir-faire et son engagement.
- Australie : La Police Fédérale Australienne (AFP) a été un partenaire essentiel dans cette collaboration internationale.
- Canada : La Gendarmerie Royale du Canada (GRC) a apporté son soutien et sa coopération à cette mission cruciale.
- Japon : L’Agence Nationale de Police a participé activement à cette opération, démontrant ainsi l’engagement du Japon dans la lutte contre la cybercriminalité.
- Royaume-Uni : L’Agence Nationale de Lutte Contre la Criminalité (NCA) et l’Unité Régionale de Lutte Contre la Criminalité Organisée du Sud-Ouest (South West ROCU) ont travaillé main dans la main pour démanteler le réseau de LockBit.
- États-Unis : Le Département de la Justice des États-Unis (DOJ) et le Bureau Fédéral d’Enquête (FBI) de Newark ont été des acteurs majeurs dans cette opération, mettant en évidence l’engagement des États-Unis dans la lutte contre la cybercriminalité.
- Suisse : L’Office Fédéral de la Police (fedpol), le Procureur Public du Canton de Zurich et la Police Cantonale de Zurich ont contribué à cette opération grâce à leur expertise et leur coopération.
L’action réussie a également bénéficié du soutien des pays suivants :
- Finlande : La Police Nationale (Poliisi) a participé activement à cette opération internationale.
- Pologne : Le Bureau Central de Lutte Contre la Cybercriminalité de Cracovie (Centralne Biuro Zwalczania Cyberprzestępczości – Zarząd w Krakowie) a apporté son soutien précieux à cette mission.
- Nouvelle-Zélande : La Police Néo-Zélandaise (Nga Pirihimana O Aotearoa) a contribué à cette opération avec son expertise et son engagement.
- Ukraine : Le Bureau du Procureur Général de l’Ukraine, le Département de Cybersécurité du Service de Sécurité de l’Ukraine et la Police Nationale de l’Ukraine ont été des partenaires clés dans cette opération internationale.
Grâce à cette action sans précédent, le monde cybernétique a été purgé d’une menace majeure. Les conséquences de cet acte retentissant se feront sentir à travers les terres numériques, marquant une victoire sans équivoque pour la justice et la sécurité en ligne. La réplique se fera sentir à travers les rangs des cybercriminels, leur rappelant que l’unité et la détermination des nations peuvent triompher face à toute adversité.
